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 Il était une fois... Kellian L. McCarter

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Kellian L. McCarter

Kellian L. McCarter


▬ MESSAGES : 32
▬ DATE D'INSCRIPTION : 31/10/2011
▬ AGE : 17 ans
▬ POUVOIR : Invisibilité
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MessageSujet: Il était une fois... Kellian L. McCarter   Il était une fois... Kellian L. McCarter I_icon_minitimeMer 2 Nov - 19:08


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Kellian Lucy
McCarter

Dis nous qui tu es...


&& PRENOM (S) ;; Kellian Lucy
&& NOM ;; McCarter
&& SURNOMS ;; Kelly, Lulu (à vous de trouver plus original)
&& AGE ;; 17 ans
&& PROFESSIONS/ETUDES ;; j'étudie la littérature comparative
&& DATE & LIEU DE NAISSANCE ;; 16 septembre 1994 à Glasgow
&& MILIEU ;; Aisé de par ma famille maternelle
&& ORIGINES ;; J'ai à mon actif trois origines: américaine et écossaise de mon père et anglaise de ma mère.
&& ORIENTATION SEXUELLE ;; incertaine
&& SIGNE PARTICULIERS/TICS ;; ;; j'ai parfois des gestes nerveux ou compulsifs quand je suis stressée. Ça peut être tapoter un stylo sur la table, rire nerveusement et sans raison, tripoter mes cheveux, ... à l'inverse, je me mets à parler à toute vitesse quand je suis excitée ou d’humeur pétillante.
&& CONFRERIE ;; Alpha Xi Delta
&& POUVOIR ;; L'invisibilité
&& AVATAR ;; Karen Gillan





Dis nous ce que tu étais. En 15 lignes minimum

Pour comprendre mon histoire, il faut remonter à celle de mes parents.
Edward McCarter, mon père, est né au sud de la Californie, dans un milieu modeste. Ses parents étaient artistes et quelque peu bohèmes, ils vivaient de joie et d'amour. Du côté de ma mère, Heather Gordon, c'est dans une riche famille anglaise qu'elle vit le jour, entourée de beaucoup d'attention mais manquant d'affection. Elle se révéla être d'une santé particulièrement faible et eut besoin de soins permanents dès son plus jeune âge. Elle était fille unique, ce qui posait certains problèmes concernant l'héritage familial. Quand elle eut seize ans, elle décida de prendre le large pour réaliser son rêve: faire le tour de l'Amérique. Elle ne put jamais finir son voyage, atteinte d'une grave maladie lors de son arrivée à San Diego. Mais elle ne perdit pas au change, puisqu'elle y rencontra mon père. Ils tombèrent éperdument amoureux, lui, jeune étudiant studieux issu d'une famille aux revenus modestes et elle, jolie héritière à la santé précaire. Ils rentrèrent ensemble en Angleterre pour se marier et fonder un foyer heureux. Leurs deux familles, ne voyant que des avantages à leur alliance, approuvèrent cette union. A la mort de ses parents, ma mère fit une grave dépression tandis qu'elle devint la seule héritière d'une immense fortune. Elle partit s'installer en Écosse avec mon père, à la recherche d'un endroit calme et paisible. Là -bas, sur un grand terrain de plaines verdoyantes et de forêts, ils firent bâtir leur manoir, une belle et luxueuse demeure où ma mère pourrait se reposer et profiter du magnifique paysage. Mon père avait repris le contrôle de la fortune dont elle avait hérité, place abandonnée à la mort de mes grands- parents.

Ma grande sœur, Lilian naissait un 4 août 1989 , c'était alors une famille comblée. Elle était le centre de leur univers. Tout comme notre mère avant elle, elle fut gâtée de présents et de compliments. Elle avait déjà ces mêmes cheveux auburn, ceux pour lesquels notre père était littéralement tombé sous le charme de sa femme lors de leur première rencontre. Puis, naquit Dylan, deux ans plus tard. Elle aussi possédait une magnifique chevelure rousse. Peu après sa naissance, notre mère eut une de ces premières "crises inexplicables". Sa santé physique se dégradait, de même que sa santé mentale. Pour lui éviter toute forme de stress supplémentaire, elle n'eut plus le droit de sortir du manoir, au risque d'être victime de dangereuses convulsions. Elle ne s'opposa aucunement à son enfermement, disant que l'éducation de ses filles suffirait à son bonheur. Quand elle tomba à nouveau enceinte, mon père demanda à interrompre cette grossesse qui mettrait sa vie en péril, mais elle s'y refusa, désirant coûte que coûte mettre cet enfant au monde.

C'était un bel après-midi de septembre. L'été se finissait et tandis que les fleurs se fanaient, je venais au monde. Ne faisant pas exception à la règle, j'héritais à mon tour de ces somptueux cheveux flamboyants qui faisaient la fierté de mes parents. Tout en me berçant et en admirant soigneusement chacune de mes taches de rousseur, ils décidèrent de me baptiser Kellian Lucy McCarter. Suite à ma naissance, ma mère resta alitée pendant plusieurs mois. Sa santé devenant de plus en plus inquiétante, elle fut à nouveau quotidiennement suivie par un nombre incalculable de médecins. A l'époque, j'étais bien trop jeune pour réaliser l'étendue de la situation. Mes principales préoccupations étaient de jouer et me disputer avec mes sœurs. Si Lilian était une enfant intelligente et débrouillarde, Dylan, elle, était puérile, insolente et capricieuse. Après nos chamailleries enfantines, je me réfugiais en pleure dans les bras de mon père qui me consolait en me disant seules les personnes qui s'aiment se disputent. Je répondais alors avec l'innocence d'une petite fille «Alors, quand maman et toi vous criez, c'est parce que vous vous aimez?» et alors mon père m'ébouriffait les cheveux en riant.

Plus les années passaient, plus la situation s'aggravait. J'appris à lire et à écrire à un âge précoce, me passionnant pour la littérature et plus particulièrement les contes de fées. J'avais une adoration toute particulière pour Alice aux pays des merveilles que l'on me contait chaque soir. Mes sœurs s'épanouissaient dans des registres totalement différents. Lilian était particulièrement appréciée à l'école pour son franc parlé et ses répliques cinglantes. Avec elle à mes côtés, personne n'osait m'embêter! Quant à Dylan, elle apprit rapidement à faire valoir son tempérament de meneuse en créant sa petite bande de filles dites "branchées". Mais même si je n'évoluais pas dans leurs univers, elles restaient mes grandes sœurs et nous nous aimions. Les maux de notre mère nous donnaient ce lien, cette affection et cette proximité que je pensais indéfectibles. Face à l'adversité, nous restions soudées et protectrices les unes envers les autres. Nos parents étaient fiers de nous. Eux, malgré l'amour qu'ils se portaient, se divisaient. Notre mère traversait des moments particulièrement pénibles, suite à une fausse-couche. Je venais d'entrer à l'école élémentaire lorsqu'elle tomba dans une profonde dépression, sûrement causée par son isolement et la perte de l'enfant. Je réalisais alors la futilité et l'incapacité d'une enfant de sept ans face aux épreuves de la vie. Nous ne pouvions rien faire pour elle, si ce n'était contacter les services de soins appropriés. Mon père se désespérait de la voir dans cet état et encore une fois, je ne pouvais rien faire.

L'ambiance au manoir était devenue austère. Nos parents ne se parlaient pratiquement plus, l'un restant seul enfermé dans son bureau, démuni, regardant l'autre sombrer de plus en plus profondément dans la folie. Notre mère passait ses journées à regarder par la fenêtre donnant sur le jardin. Elle ne répondait que par des sourires visiblement forcés et des «Ne t'inquiète pas, maman va bien. Tout va s'arranger!» qui sonnaient faux. Et voilà qu'un funeste 14 février 2004, alors que mes sœurs et moi jouions à cache-cache, nous découvrîmes son corps, pendu dans le vide, sous cet arbre de notre jardin. Je ne pourrai jamais oublier son regard, un regard vide, absent, mort.

Ce serait un euphémisme que de dire que l'épreuve fut rude! Je ne savais que penser, du haut de mes dix ans. Elle nous avait abandonnés, devais-je lui en vouloir? Mais peut-être était-ce ma faute, moi qui la voyais dépérir de jour en jour sans trouver le moyen de lui venir en aide? Notre père en eut assez. Peu après les funérailles, il nous annonça que nous partions. Il vendit le manoir qu'il avait autrefois fait bâtir avec l'intention d'y faire vivre une famille heureuse. En moins d'un an, nous quittâmes l’Écosse pour l'Amérique. Une grande maison nous attendait à Chicago. Ça n'avait rien à voir avec Glasgow. Cette grande ville bruyante ne me plaisait en rien. Le calme et la verdure de l’Écosse me manquaient, j'avais le mal du pays.

Je finis tout de même par m'adapter. En grandissant, mes idéaux et ma naïveté de petite fille se dissipèrent. Je passais la majeure partie de mon temps seule, à lire dans ma chambre. A l'école, je restais au fond de la classe, sans parler à personne. Mes résultats scolaires étaient impressionnants et mes professeurs décidèrent de me faire sauter une classe. Mais comme de nombreux enfants précoces, je n'arrivais pas à m'intégrer parmi les autres, tous plus âgés que moi. Aux yeux de tous je n'étais que la petite intello et je m'en contentais. Je m'isolais avec l'impression d'être totalement transparente pour les autres. Mon père craignit que, comme ma mère, je ne finisse par montrer des signes d’asociabilité et de troubles mentaux. Il me poussa à me faire plus d'amis et à traîner avec des jeunes de mon âge. Je n'étais pas considérée comme "normale". Mais elle est où la normalité, au juste?

A mon entrée au lycée, je rencontrai enfin des gens qui me comprenaient. C'est peut être à cette période que je commençai vraiment à m'épanouir. Je découvrais une facette de ma personnalité que je ne me connaissais pas. Mais à cette période je découvris aussi que quelque chose clochait chez moi. Je me rendis compte que j'avais la faculté de devenir invisible. Cette nouvelle tare à mon actif me terrifiait. Je n'osais en parler à personne, préférant faire bonne figure devant les autres. Je ne pouvais pas me confier à mes sœurs avec qui je m'étais éloignée. Elles vivaient décidément dans un monde trop éloigné du mien, un monde constitué de soirées arrosées et de guerres entre filles pour lequel je n'étais pas faite. C'était comme ça depuis la mort de notre mère, comme si sa disparition avait signé la fin de notre lien fusionnel. On s'aimait toujours, mais on n'avait plus grand chose à voir les unes avec les autres.

Je finis par avouer mon fardeau à ma meilleure amie du lycée en espérant qu'elle ne me rejette pas. Si tel était le cas, il ne me resterait plus qu'à disparaitre et peut-être à me faire engager par une compagnie de cirque. Heureusement, je n'eus pas besoin de recourir à un tel procédé car elle se montra très compréhensive. Elle semblait même plus excitée par la situation que je ne l'étais. Elle fit des recherches sur le net et découvrit que mon cas n'était pas si anodin que ça. D'autres personnes possédant elles aussi des dons hors du commun arrivaient parfaitement à vivre en société sans être rejetées. Cette nouvelle fut pour moi comme une libération. Je n'avais rien de bizarre, rien que je ne puisse me reprocher.

A partir de cet instant je décidai de changer, de vivre ma vie à fond et sans regret. J'obtins mes diplômes haut la main et décidai de rejoindre mes sœurs à l'université de Chicago. Terminée ma réputation de fille sage et obéissante! Cette fois, j'allais profiter de la vie animée des étudiants: intégrer une confrérie, participer à des soirées et tous ces plaisirs dont je me suis trop longtemps privée. Je m'en réjouissais d'avance!




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Dis nous ton caractère. en 10 lignes minimum

&& Caratère

Quand j'étais petite fille, je m’identifiais beaucoup à cette Alice, une enfant loin de chez elle qui se sent un peu perdue ...

Donc la question est de savoir qui je suis, n’est-ce-pas? Très bien.

J'ai toujours été une bonne élève, mes notes variaient entre 15 et 20. J'étais sage et discrète, une vraie petite fille modèle! A cause de cela, les autres avaient tendance à me trouver niaise, inintéressante et j'étais loin d'être aussi appréciée que mes sœurs. Il faut dire qu’il n’est pas dans ma nature de venir spontanément vers les autres, on peut même dire que j’ai un blocage à ce niveau-là. Certains diront sûrement que je suis une fille trop coincée. Qu’ils parlent si ça leur chante, je n’ai pas besoin de leurs commentaires pour savoir qui je suis et de toutes façons, l’avis des autres m’est bien égal !

Pour commencer, je suis assez timide au départ, je reste volontairement dans mon coin. Mais une fois cette barrière franchie, je montre un tout autre visage. Mon enthousiasme peut surprendre, il m’arrive de sauter de joie comme une petite fille. Je suis souriante, la plupart du temps, rayonnante. Si je suis triste, il y a peu de chance que quelqu’un le remarque tellement je me forcerai à paraître joyeuse. Seuls mes amis proches pourront cerner un soupir navré derrière ma mine radieuse. Je possède aussi un grand sens de l’humour. C’est un peu ma manière de détendre les atmosphères tendues.

On me reproche souvent d'être trop têtue, et je dois admettre que ce n'est pas totalement faux. J'ai beaucoup de mal à lâcher le morceau quand j'ai décidé quelque chose, mais être obstinée et persévérante peut parfois jouer en votre faveur. Ce n'est pas mon genre de baisser les bras à la moindre difficulté, quoi qu'il arrive, je ferai tout pour aller jusqu'au bout de mes idées. C'est un aspect de ma personnalité dont je suis plutôt satisfaite d'ailleurs!

Je suis aussi très fière. Ce n'est en rien de l'égo mal placé qui s'accompagne généralement d'une tendance au narcissisme, juste une petite fierté qui me pousse à garder la tête haute, peu importe la circonstance. Je dois l'avouer, je n'aime pas vraiment me ridiculiser. Rien à voir avec le jugement des autres, mais je ne trouve rien de "cool" à se réveiller dans son vomi en plein milieu du campus après une soirée. Donc voilà, je tente toujours de rester digne. Trop coincée pour vous? Trop sérieuse? Dommage pour vous, je ne suis pas là pour me faire des amis. Si je suis ici, c'est pour moi et pour moi seule!

Ma naïveté est la chose que je déteste le plus en moi! Ça et ma nature trop raisonnable. A mon âge, j'ai bien sûr cessé de croire que le monde est gentil et plein de bonnes intentions, que les dits "méchants" perdent toujours face aux "gentils". Alors pourquoi est-ce que je reste éperdument confiante? Peut-être parce que je suis moi-même quelqu'un sur qui on peut compter. Je n'arrive pas à imaginer la duplicité d’autrui et cela me perdra!

Un mot qui me définit? "Contradictoire"!





Derrière ton écran

    && Prénom/Pseudo ;; Greed m'ira très bien!
    && Age ;; trois ans de plus qu'un demi quart de siècle X)
    && Ta présence sur le RPG ;; 2/7 en temps scolaire
    && Comment as-tu connu le forum ? Par la fonda
    && Comment le trouve tu ? très cool, beau design, concept original
    && Doubles comptes ? {Si oui, qui ?) nope, je suis assez surchargée comme ça, mais un jour...
    && Ton perso est -il un PV ou Un Scénario ou inventé ? Sorti tout droit de mon imagination!
    && As-tu des connaissances en graphisme ? Assez désastreuses...
    && Codes ;; Hyde Park



Dernière édition par Kellian L. McCarter le Dim 13 Nov - 15:47, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Il était une fois... Kellian L. McCarter   Il était une fois... Kellian L. McCarter I_icon_minitimeVen 4 Nov - 22:05

Bienvenue sur le forum, éclate toi bien Il était une fois... Kellian L. McCarter 1199265026

Je suis là si tu as la moindre question ! Il était une fois... Kellian L. McCarter 1392530597
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MessageSujet: Re: Il était une fois... Kellian L. McCarter   Il était une fois... Kellian L. McCarter I_icon_minitimeSam 5 Nov - 12:58

Merci beaucoup Il était une fois... Kellian L. McCarter 1261685883

J'essaie de terminer ma fiche au plus vite! Il était une fois... Kellian L. McCarter 3651832253
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MessageSujet: Re: Il était une fois... Kellian L. McCarter   Il était une fois... Kellian L. McCarter I_icon_minitimeLun 14 Nov - 17:49

Ta fiche est superbe, rien à redire et le code est ok alors j'ai l'immense plaisir de t'annoncée que tu es validée ! Il était une fois... Kellian L. McCarter 1468157981



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